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L'Odyssée se poursuit dans les Cyclades

21 juillet 2019

Retour à Mykonos

La dernière traversée nous a ramenés de Syros (baie de Finikas) à Mykonos en 4 heures avec une mer très praticable! Dix Vagues va maintenant se reposer, se faire pomponner et










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21 juillet 2019

Relâche à Syros

Conscient avez besoin de reposer, nous avons décidé d’explorer l’ile de Syros. Nous sommes allés à la capitale, Ermoupoli, et nous avons ensuite exploré l’intérieur et la côte ouest.

La dernière photo représente une calanque bien exposée, au nord-ouest de l’ile. La calanque n’est pas grande mais elle est bien protégée du vent du nord. Un bon mouillage s’il n’y a pas trop de monde!
















21 juillet 2019

Tabac dans les Cyclades

Le passage de Kyrnos à Syros fut... bien secoué. La météo nous avait promis du force 6-7 avec un creux de 1,20 mètre. Mais Eole a dû penser qu’il ne fallait pas megoter et a rajouter un bon 20-25% ... sans supplément sur la facture. On s’en est pris plein la figure... mais on est passé. Dix Vagues n’a as frémi ! 

Seule conséquence négative nius n’avons pas de photos à partager... sauf l’image de Dix Vagues au repos dans la baie de Finikas dans l’ile de Syros. 




16 juillet 2019

Le refuge de Kythnos

En ce 15 juillet, nous sommes partis de Milos, en direction du nord pour entreprendre notre retour vers Mykonos. Nous pensions faire escale pour la nuit sur l’ile de Serifos. Mais le vent des jours à venir n’eta Pas favorables, il nous a paru plus judicieux de remonter plus vers le nord et de passer la nuit au sud de Kynthos, a Agios Dimitrios. 






16 juillet 2019

Les mains de la Vénus













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14 juillet 2019

Les pour et les anti

Descente vers Anti-Paros, l’ile Soeur (ennemie?) de Paros.

Les photos: La traversée (au loin Antiparos), l’arrivée au nord d’Antiparos), le mouillage pour la baignade, le port au sud de Paros, le soleil se couche sur Dix Vagues!














11 juillet 2019

Retour à Mykonos

Nous sommes retournés à Mykonos pour accompagner deux vaillants équipiers, Jérôme et Gregory, qui devaient repartir vers la France. Leurs compétences de marin vont sûrement nous manquer.

Avant de partir ils ont eu le bon goût de nous aider à faire réparer l’échelle de bain et le génois endommagé. C’est chose faite...

Cela ne nous a pourtant pas empêché de réviser les fondamentaux de la vie Mykonienne. Quelques clichés valent mieux qu’un long discours.













10 juillet 2019

Cap sur Tinos

Après Syros la riche, nous avons décidé de nous diriger vers Tinos, la pieuse.  

Sur le chemin, nous nous sommes arrêtés à Délos pour permettre à Caroline, Grégory et Jérôme de visiter le site archéologique. Cela nous a valu une jolie photo, la vue qu’auraient pu avoir les habitants de Délos sur Dix Vagues s’etait arrêté au mouillage dans le port antique il y a 2500 ans!

Tinos est une île, et une ville, très différentes des Cyclades que nous avons visitées. Elle est certainement moins riche, de touristes et de biens matériels, mais elle représente la Grèce traditionnelle comme nous nous la représentons.  Si peu de touristes et si peu de boutiques pour les touristes  ! On a un peu le sentiment de se retrouver chez les Grecs.

D’ailleurs Tinos est une ville, la capitale de Tinos, très orientée sur la religion, avec une longue avenue que les croyants parcourent à quatre pattes depuis le port jusqu’à la basilique dédiée à la vierge Marie, un bon kilomètre plus haut.

Enfin le port  est très accueillant, avec de nombreuses places accessibles aux bateaux, même en fin de journée. Nous avons choisi de nous mettre dans la partie sud-est du port, qui est bien moins bruyante que le quai dédié au bateaux de passage. Nous vous recommandons cette option.














9 juillet 2019

Retour à Syros

 La météo nous ayant donné des conditions idéales (pétole et mer plate) nous avons mis le cap vers Syros.

Sur notre route, nous sommes passés près d’un îlot isolé derrière lequel la carte marine indiquait un haut fond à 6 mètres de la surface. Cela promettait un beau spectacle sous-marin avec une faune et une flore riche de l’éloignement des zones habitées. Mais surprise : en nous tournant au-dessus du sommet sous-marin, nous nous sommes aperçus que la profondeur était dix fois supérieure à celle indiquée sur la carte. Un écart dans le bon sens heureusement !

Après une courte baignade dans des eaux limpides, nous avons repris la mer en direction d’Ermopouli, capitale de Syros où nous avons été accueillis par une chaleur accablante, peut-être renforcée par le marbre qui recouvre les rues de cette ville au riche passé de port de négoce.

Le guide nautique indiquait un petit port (Marina Syriou) au sud de la rade et précisait que ce port était gratuit. Nous étions un peu sceptiques. Pourtant c’est exact, le port est gratuit, et il y a tellement de places que l’on peut y accoster sur le côté mais il n’y a pas d’eau ni d’électricité. Rejoindre la ville (place Miaouli) en taxi ne coûte que 4 ou 5 euros.













8 juillet 2019

De Mykonos à Naoussa (Paros)

 Après trois jours passés dans le port de Mykonos (Tourlos Marina),  il était temps de prendre un peu le large. La météo avait annoncé une accalmie, avec un vent de force 5 à 6. En réalité il y avait peut-être force 4 dans la baie de Mykonos, mais le vent tomba bientôt à force 3. Étant parti de Mykonos à 11h, nous sommes arrivés dans la baie de Naoussa (Paros) vers 15 heures. Nous avions parcouru une petite vingtaine de milles vent arrière. 

Plutôt que d’aller dans le port de Naoussa, nous avons choisi de nous mettre au mouillage dans la calanque de Monastiri au nord ouest de la ville. C’est une calanque extrêmement bien protégée et jolie (dernière photo) et nous y avons passé une soirée et une nuit délicieuses.

Il est dit dans les guides (et ça correspond bien à notre expérience) que le vent est toujours plus fort à Mykonos et à Tinos et qu’il est plus faible vers le sud, Paros ou Naxos, notamment. Il faut ajouter une ou deux forces Beaufort quand on remonte vers Mykonos.

Mais, si le vent se lève, on trouve très vite une calanque pour se réfugier dans une des dizaines d’iles (habitées ou inhabitées) de l’archipel. Les îles du centre des Cyclades sont en fait très rapprochées les unes des autres: entre 10 et 20 milles. 
















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